Une fable sur la liberté et la paix ou comment Aagun a guidé son peuple vers l'autonomie.
Quelque part, en dehors du temps, une tribu est pillée par la tribu voisine, les Hounks. Les victimes vont chercher de l’aide auprès de leur seigneur qui leur envoie comme aide son meilleur lieutenant, Aagun. Celui-ci installe son campement à égale distance des deux tribus. Tous se demandent alors comment un seul homme pourra leur venir en aide.
Aagun se met à chasser et à offrir son butin aux Hounks. Puis, il impose aux hommes qu’il est censé protéger de l’accompagner à la chasse, avant d’offrir le gibier à leurs ennemis. Personne ne comprend cette injustice. Mais petit à petit, les envahisseurs engraissent, deviennent décadents puis déposent leurs armes et relâchent leur attention. Et un matin Aagun s’en est allé rejoindre son seigneur. Abandon ou victoire ?
La réponse est dans la lettre que le peuple agressé adresse à Aagun à la fin du récit, où l’on apprend comment ils ont tiré la leçon de son enseignement. Un épilogue original qui offre au récit un éclairage pertinent et redouble son intensité.
L’illustration, comme en mouvement, s’apparente à de la calligraphie où surgissent de petits personnages sur lesquels le lecteur doit se pencher.
Une fable sur la liberté et la paix ou comment Aagun a guidé son peuple vers l'autonomie.
Quelque part, en dehors du temps, une tribu est pillée par la tribu voisine, les Hounks. Les victimes vont chercher de l’aide auprès de leur seigneur qui leur envoie comme aide son meilleur lieutenant, Aagun. Celui-ci installe son campement à égale distance des deux tribus. Tous se demandent alors comment un seul homme pourra leur venir en aide.
Aagun se met à chasser et à offrir son butin aux Hounks. Puis, il impose aux hommes qu’il est censé protéger de l’accompagner à la chasse, avant d’offrir le gibier à leurs ennemis. Personne ne comprend cette injustice. Mais petit à petit, les envahisseurs engraissent, deviennent décadents puis déposent leurs armes et relâchent leur attention. Et un matin Aagun s’en est allé rejoindre son seigneur. Abandon ou victoire ?
La réponse est dans la lettre que le peuple agressé adresse à Aagun à la fin du récit, où l’on apprend comment ils ont tiré la leçon de son enseignement. Un épilogue original qui offre au récit un éclairage pertinent et redouble son intensité.
L’illustration, comme en mouvement, s’apparente à de la calligraphie où surgissent de petits personnages sur lesquels le lecteur doit se pencher.